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11 Février 2022
À l’aube ce matin doucement tu reviens
Lorsque la ville s’éveille et se sort du sommeil.
L’oiseau de fer se pose sur nos terres
Où sont toutes nos racines qui nous bercent et animent.
Des jours sans toi tant de lumières en moi
Ce que mon cœur respire sans pouvoir te le dire
Est-ce l’amour de passage qui sera mon bagage.
Ne serais-je qu’une poussière qui sera l’éphémère
Une toute petite luciole qui brille et qui s’étiole
Quand ton doux cœur partage ce qui est l’héritage.
Sauras-tu dire un jour ce que fait mon amour
Dans le fond de ton cœur pour un simple bonheur.
Doucement tu reviens à l’aube ce matin
Où sont toutes nos racines qui nous bercent et animent.
Sur nos terres l’oiseau de fer se pose
Lorsque la ville s’éveille et se sort du sommeil.
Tant de lumières en moi ce que mon cœur respire
Des jours sans toi sans pouvoir te le dire.
Qui sera l’éphémère qui brille et qui s’étiole
Une toute petite luciole.
Quel sera l’héritage quel sera mon bagage
Est-ce l’amour de passage.
Pourras-tu enfin dire ce que sont tes désirs
Aux valves qui soupirent de ne pouvoir te vivre.
À l’aube ce matin doucement tu reviens
Lorsque la ville s’éveille et se sort du sommeil
L’oiseau de fer se pose sur nos terres.