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15 Février 2022
Deux cœurs ne faisant qu’un on le rêve ce destin
Mais l’amour s’est fané par ses longues années.
Les petites différences qui prennent de l’importance
Dans des douces habitudes d’où naît la lassitude.
Toutes ces certitudes devenues incertitudes.
Un nuage s’assombrit dans tes yeux c’est la pluie
Rien n’est jamais acquis les dures lois de la vie.
Devant toi un grand mur où tu tagues les blessures
Tu refais le passé pour ne pas oublier
Une page s’est tournée il faudra assumer.
L’hirondelle comme l’amour se fera passagère
À l’aube d’un autre jour cherchera d’autres aires
Où le ciel est plus bleu pour contempler les cieux.
L’empreinte du chagrin dans le creux de tes mains
Tu oublieras la peine qui coule dans tes veines.
On le rêve ce destin deux cœurs ne faisant qu’un
Mais par ses longues années l’amour s’est fané.
Devenues incertitudes toutes ces certitudes
D’où naît la lassitude dans des douces habitudes
Prennent de l’importance les petites différences.
Les dures lois de la vie un nuage s’assombrit
Dans tes yeux c’est la pluie rien n’est jamais acquis.
Devant toi un grand mur pour ne pas oublier
Tu tagues les blessures tu refais le passé
Il faudra assumer une page s’est tournée.
Comme l’hirondelle les amours se feront passagères
Cherchant d’autres aires à l’aube d’un autre jour
Pour contempler les cieux où le ciel est plus bleu.
Tu oublieras la peine qui coule dans tes veines.
Le cœur tout en émoi tu trouveras celui qui bat pour toi.
MA PEINE POÉTIQUEMENT PARLANT.